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La crise actuelle, un miroir de qui nous sommes ?



Pour aider ceux qui le désirent à traverser cette période de transition avec plus de clarté et de facilité, je vais animer un atelier en ligne en décembre 2020,

organisé en collaboration avec Harmonie et Conscience.



Pour info et inscription, écrivez à Harmonie et Conscience : harmonieetconscience888@orange.fr

 

La crise mondiale que nous traversons actuellement suscite beaucoup de réactions et fait aussi surgir beaucoup de questions. Mais si nous l’observons d’un point de vue plus élevé, à partir de la perspective neutre et impartiale de notre conscience multidimensionnelle, la question la plus importante que nous pouvons nous poser est la suivante : « comment cette situation peut-elle nous servir à faire émerger une réalité plus équitable et harmonieuse ? »

Nous observons que la polarisation entre les différents groupes grandit sans cesse. À un bout du pôle, certains choisissent de remettre avec confiance aux autorités gouvernementales, médicales ou scientifiques la responsabilité de leur santé et de leur bienêtre et acceptent toutes les mesures restrictives sans les remettre en question. Alors qu’à l’autre bout du pôle, les mesures de restriction sont perçues comme étant non fondées sur des bases scientifiques solides et sont vues comme une tentative de contrôle entraînant la perte de la liberté d’être et d’expression. Et le fossé qui sépare les deux opposés devient de plus en plus irréconciliable, engendrant plus de division et de séparation, même entre les membres d’une même famille.


Devant tout ceci, où et comment doit-on se positionner ? Comment reconnaître la vérité dans le capharnaüm d’informations contradictoires qui circulent ? Comment avoir confiance en notre possibilité d’établir un monde meilleur ? Je crois que nous devons commencer par nous poser quelques questions afin de mieux comprendre notre rôle dans tout ceci afin de comprendre où réside notre véritable pouvoir.

  • Avons-nous joué un rôle dans l’apparition de la crise mondiale actuelle et si oui, lequel ?

  • Avons-nous un pouvoir d’influence sur l’évolution de cette crise ?

  • Quel est le rôle de la peur dans la manipulation de masse ?

  • Sommes-nous vraiment libres et sinon, comment retrouver notre liberté et notre libre arbitre ?


Voilà quelques-unes des questions auxquelles je vous propose de réfléchir ensemble.

Le niveau de connaissance actuelle que nous avons de l’être humain, sur le plan spirituel, énergétique ainsi que de plus en plus sur le plan de la science quantique, nous montre sans l’ombre d’un doute que nous avons une influence sur notre réalité individuelle, par nos pensées, nos croyances et nos désirs. Nous savons maintenant que ceux-ci jouent un rôle important dans les expériences que nous traversons. Il y a toutes sortes d’enseignements sur la loi de l’attraction, sur les principes de manifestation, sur la manière d’attirer plus d’argent, d’amour ou de santé. Mais peu de gens comprennent vraiment la puissance de cet énoncé.


Car, si nous sommes des êtres créateurs pouvant influencer notre réalité individuelle, nous devons prendre conscience que nous créons tout le temps et en toutes occasions — pas seulement quand ça fait notre affaire ou quand ça va comme nous le voulons ! Non seulement nous jouons un rôle dans tout ce qui nous arrive, mais nous contribuons tous aussi à la réalité collective, par l’interconnexion énergétique qui existe entre tout ce qui vit sur cette planète et la planète elle-même, que ce soit de manière consciente et active ou inconsciente et passive.


En conclusion, nous devons constater que si nous participons à la création de la réalité, on ne peut faire autrement que d’admettre que nous avons participé à l’apparition de la crise actuelle, sur un plan collectif.

Cependant, il ne s’agit pas ici de trouver un fautif ou de blâmer quelqu’un ou quelque chose. Oui bien sûr, il y a des êtres qui posent des actions indésirables qui doivent être rectifiées, mais le propos de cette conversation n’est pas de trouver des coupables. C’est plutôt de réaliser que nous avons joué un rôle (autant sur un plan individuel que collectif) dans l’apparition de cette crise mondiale — peu importe comment vous voulez la décrire : crise sanitaire, tentative de coup d’État mondial pour le contrôle et la manipulation de l’humanité, malchance ou dette karmique — tout cela est vrai en même temps, selon notre point de perception, car la nature de la réalité n’est ni linéaire, ni unidimensionnelle — elle dépend en fait de nos perceptions.

Maintenant, il faut comprendre que tout ce qui est manifesté sur le plan matériel commence sur le plan immatériel, sur le plan énergétique, c’est-à-dire par nos désirs, nos pensées et nos croyances. On peut donc dire que ce qui se joue actuellement à l’extérieur de nous est le résultat de notre état de conscience passé — notre fréquence vibratoire passée — qui se manifeste maintenant.

Devant un conflit, le plus important n’est pas de savoir comment le conflit est survenu, mais bien plutôt de trouver comment le dépasser. Je crois que fondamentalement, cette crise nous place devant la nécessité de reprendre la responsabilité de ce que nous avons créé afin de pouvoir reprendre notre place dans ce monde en revendiquant notre vraie nature et notre véritable puissance.


On peut dire que l’histoire présente est le résultat des choix faits par les générations passées autant qu’actuelles. Or si nous croyons en la réincarnation, nous devons réaliser que nous avons fait partie de ce passé — puisque nous nous réincarnons constamment. Nous ne pouvons pas accuser les générations précédentes, mais nous devons nous rendre compte que nous sommes responsables, en tant qu’humanité ou conscience collective, de tous les choix que nous avons faits dans toutes nos vies. Nous sommes l’histoire passée, l’histoire présente ainsi que l’histoire future puisque tout n’existe que dans le présent, à partir de notre point de vue individuel actuel.


Puisque tout commence énergétiquement, quelles sont donc les pensées et les croyances les plus importantes dont nous devons prendre conscience et qui ont pu mener à l’émergence des circonstances actuelles — peu importe si on perçoit cette crise comme l’arrivée d’un virus dangereux qu’il faut contrôler ou comme un coup d’État mondial pour le contrôle de l’humanité ? Ces différences de perception sur cette situation démontrent simplement que nous modelons notre expérience personnelle selon le cadre de référence qu’on choisit pour l’interpréter.

Ce qui se passe, c’est que nous avons été conditionnés depuis notre plus jeune âge — et cela a été transmis de génération en génération — à adopter des croyances qui nous font percevoir que « nous sommes des êtres sans pouvoir », que « la vie nous arrive sans qu’on n’y puisse rien. » Nous nous croyons victimes des autres ou des circonstances, nous voyons le monde comme un endroit dangereux ou encore nous croyons que la vie est difficile, que le monde est injuste ou qu’on risque de tout perdre à tout moment. Et dans notre ignorance et notre inconscience, nous avons commencé à nier notre propre autorité pour choisir de remettre la responsabilité de notre vie, de nos choix, de nos décisions à des autorités extérieures (religion, science, médecine, gouvernement, famille, etc.) et tout ça dans le but de nous sentir en sécurité et de nous déresponsabiliser. Nous avons laissé ces autorités nous dire ce qui est bon ou pas, ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas, ce qu’il faut faire, comment se comporter, ce qu’on doit manger et même ce qui est vrai ou faux. Nous avons sacrifié notre propre pouvoir de discernement et de choix pour le remettre à des autorités que nous croyons plus compétentes que nous et qui savent mieux que nous.


Tout ce conditionnement vise à nous faire nous conformer aux normes définies par certaines autorités et nous le faisons parce que nous voulons nous sentir acceptés, nous voulons faire partie de la tribu. On nous a inculqué la croyance que nous devons « bien faire »… mais « bien faire » selon qui ou quoi ? Ce « bien faire » veut dire que nous nous sentons obligés d'obéir aux ordres de nos dirigeants et ultimemement aux règles de la meute, sans même poser de questions. Nous avons peur de désobéir et de nous sentir rejetés, exclus ou même ridiculisés ou punis… Regardez cette expérience pour mieux comprendre comment ce comportement a été « intégré ».



Il est temps de commencer à penser par nous-mêmes et de réaliser que nous avons le choix ! Il faut commencer à réaliser jusqu’à quel point nous n’osons plus faire des choses qui vont à l’encontre de ce que la société nous dit, même si nous savons dans notre cœur qu’elles sont justes.

La bonne nouvelle est que si nous avons participé, même inconsciemment, passivement ou par ignorance à l’apparition de ce qui se passe sur le plan mondial, parce que notre force créative est toujours en action, nous avons la possibilité — le pouvoir en fait — de tout changer dès maintenant.


Une autre bonne nouvelle c’est que nous sommes aidés et soutenus dans cette entreprise de retour à l’équilibre naturel de la vie et de la création, et ce d’une manière puissante, par un plan de sauvetage provenant de cette conscience universelle et magnifique que l’on peut nommer la Source, Dieu ou l’Intelligence universelle. Mais comme nous avons été dotés du libre arbitre et que nous sommes des êtres libres et souverains, nous devons y collaborer consciemment. C’est ainsi que ce plan ne peut se faire sans notre coopération consciente.

Première réalisation : reprendre la responsabilité de notre vie et de ce que nous créons.

Nous vivons à une époque où la possibilité de nous rappeler qui nous sommes vraiment, la possibilité de retrouver notre véritable pouvoir en tant qu’être humain fonctionnant en accord avec l’intelligence universelle, avec les lois de la création, est maintenant possible pour tous et d’une manière naturelle. De plus en plus de gens s’éveillent maintenant à une dimension plus élevée de leur être simplement à travers la manière dont ils réagissent à leurs expériences de vie.


La science nous dit qu’une grande partie de notre ADN est endormie et qu’elle est probablement inutile, car elle n’en comprend pas encore le sens. Mais cet ADN est loin d’être inutile. Il contient toutes les informations nous concernant sur notre véritable nature et notre vrai potentiel. Et les nouveaux influx lumineux que nous recevons maintenant éveillent cet ADN, ce qui nous aide à retrouver la mémoire de l’être que nous sommes vraiment. Nous commençons alors à ressentir la vérité de l’intérieur, la vérité sur ce que nous sommes et sur la Création, et nous commençons à mieux saisir que la nature réelle de la création est profondément bienveillante et généreuse. Nous commençons également à mieux percevoir l’interconnexion entre tout ce qui existe et donc entre tous les êtres.

À l’heure actuelle, beaucoup d’êtres peuvent être touchés d’une manière directe par cette nouvelle lumière et lorsque celle-ci est acceptée, qu’on n’y résiste pas, elle commence à transformer d’une manière naturelle la façon de se percevoir, la façon de percevoir la vie, la réalité et la raison d’être de l’individu. C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que ceci est possible. Cette connexion est maintenant quelque chose de naturel à celui qui est prêt. C’est ce qui fait que nous voyons beaucoup de gens qui, il y a encore 2 ou 3 ans, ne s’intéressaient pas à la spiritualité être maintenant attirés par cette information et s’intéresser à la dimension énergétique et spirituelle de leur être.

Cette prise de conscience que nous sommes bien plus que ce qu’on nous fait croire est essentielle si nous voulons transformer le monde dans lequel nous vivons. Nous devons maintenant revendiquer notre véritable identité, celle d’un être libre, un être souverain qui a droit à l’autodétermination. C’est très important, car cela veut dire que rien ne peut nous être imposé sans notre consentement. Nous allons revenir sur ce point un peu plus loin pour voir comment nous donnons notre consentement sans nous en rendre compte.


Deuxième réalisation : savoir qui nous sommes vraiment et connaître le milieu dans lequel nous évoluons est nécessaire pour reprendre notre pouvoir.

Pour avoir un pouvoir d’influence sur la réalité et naviguer avec grâce à travers le chaos, nous devons réaliser que notre nature profonde est avant tout énergétique et que tout commence dans l’énergie, par des idées nouvelles et le désir que nous avons de les exprimer, de les réaliser. Notre nature véritable est celle d’un être qui crée. Tout dans l’univers est construit sur le même modèle. Imaginez que la création de votre être provient de la division de la Source. Que votre nature originelle est donc une étincelle d’énergie de même nature que la Source avec les mêmes attributs ! C’est une énergie qui peut créer des mondes !

Nous ne faisons pas la relation entre ce qui nous arrive et ce que nous pensons et croyons — à cause du délai entre notre état d’être et la manifestation. Cependant, la réalité est toujours la projection de la conscience — sur le plan individuel autant que collectif. Et à l’heure actuelle, la manifestation de ce que l’on désire, pense et croit se fait de plus en plus rapidement ce qui permet de mieux comprendre la nature de ce processus. Mais ce qui veut aussi dire que pour avoir une influence sur la réalité actuelle, pour obtenir une résolution de la crise actuelle, nous devons être capables de maintenir d’une manière claire et constante la vision du monde dans lequel nous voulons vivre. Et pour cela, nous devons cesser d’accorder une attention négative à ce qui est présent. Facile à dire, mais pas si facile à faire quand nous ne connaissons pas le fonctionnement de notre propre énergie.

C’est pourquoi il est important de savoir que nous modelons notre réalité d’une part par la perspective que nous avons sur les circonstances de notre vie, et d’autre part par nos réactions quotidiennes à toutes les circonstances qui se présentent à nous. Qu’est-ce que ça veut dire ?


Ça signifie que nous entrons en accord avec la réalité qui nous est présentée lorsque nous nous engageons énergétiquement avec elle par notre interaction émotionnelle. Lorsque nous répondons aux circonstances extérieures par des émotions difficiles et intenses comme la colère, la frustration, le sentiment d’injustice ou d’impuissance ou encore par la peur ou le doute, nous signifions que ce que nous percevons est réel et nous faisons de ce que nous voyons notre réalité. Nous identifions alors le rôle que nous choisissons de jouer dans ce qui nous est présenté et nous allons soutenir la manifestation cette réalité — puisque notre colère, frustration ou autre signifie que nous donnons de l’importance et du pouvoir à cette réalité. Nous entrons en résonance vibratoire avec elle alors que nous croyons qu’elle peut nous affecter.

Bien sûr, il y a différentes raisons pour se mettre en colère. La colère ne signifie pas la même chose pour tous ceux qui la ressentent. C’est quelque chose de très individuel. Je peux être en colère, parce que j’ai peur de perdre ma liberté ou encore je peux être en colère parce que je crois qu’il y a des gens qui sont inconscients et se laissent manipuler et donc qu’ils peuvent influencer la réalité que je désire. Mais la croyance fondamentale derrière toute colère est que je ne reconnais pas mon propre pouvoir, je ne crois pas en mon pouvoir et ce faisant je remets aux autres le pouvoir d’influencer ma vie et ma réalité.

Que faut-il faire ? Il ne s’agit pas d’ignorer ce qui se passe ou de faire l’autruche. Mais avant d’agir, il faut s’occuper de notre énergie afin de pouvoir modeler la réalité que nous désirons vraiment. Nous devons aligner nos désirs, nos pensées et nos croyances de manière cohérente en éliminant tous les doutes et les conflits intérieurs. Nous devons nous servir de chaque évènement qui nous fait réagir intensément pour déprogrammer les peurs et les limitations.

Lorsqu’on arrive à observer ce qui se passe, sans s’engager émotionnellement, nous sommes alors capables de choisir une autre histoire, une autre ligne de temps. Nous devons pouvoir observer ce qui est présent en comprenant que lorsque la Lumière est de plus en plus présente, tout ce qui était caché jusqu’à maintenant va faire surface, rien ne peut rester dans l’ombre. La lumière éclaire tout. La lumière est une énergie puissante. C’est une force absolue qui n’a pas de contraire. Lorsqu’il y a lumière, il ne peut y avoir d’obscurité. L’obscurité n’est pas une force opposée à la lumière, car l’obscurité ne peut exister qu’en l’absence de lumière. Il s’agit de réaliser que rien ne peut s’opposer à la lumière de la Source. L’opposition obscurité/lumière n’existe que dans le monde matériel de la dualité, car au-delà, il n’y a que la Lumière de la Vérité qui inclut tout, y compris la dualité.

Sachant tout cela, comment peut-on faire évoluer les circonstances extérieures de manière positive et bénéfique ? Il faut commencer par accepter la réalité présente, sans résistance et sans lui donner de l’importance par une attention négative. Il faut savoir accepter ce dont nous sommes témoins dans la réalité présente et comprendre que cela puisse servir un plus grand but — même si avec notre compréhension humaine nous ne pouvons pas le saisir. Nous pouvons comprendre que d’autres êtres ont encore besoin de ce type d’expérience pour évoluer et pour ouvrir leur conscience. Il est temps d’apprendre à vivre dans l’amour et la compassion. Il est temps de réaliser que toute forme de division et de catégorisation joue le jeu de la matrice de l’illusion. Car sans impartialité, nous divisons et séparons les êtres et nous restons dans un monde d’illusion.


Et ensuite, nous devons nous efforcer de maintenir des pensées nouvelles, des pensées en accord avec la vie que l’on désire avoir, tout en gardant notre attention sur ce que l’on veut. Notre point de focalisation doit être le nouveau et non pas le présent dont nous ne voulons pas ! Pour faire émerger une nouvelle réalité, la fréquence vibratoire actuelle de l’humanité doit être différente de celle qui a créé les circonstances présentes.

Il est temps de laisser aller la perception que nous vivons dans un monde où le danger, les limitations et le risque de manquer de quelque chose sont prédominants pour commencer à percevoir que la nature fondamentale de la vie, de la création est bienveillante et généreuse et qu’elle pourvoit à tous nos besoins. On ne peut s’empêcher de constater qu’un nombre infime d’êtres s’est approprié non seulement toutes les richesses, mais aussi le pouvoir. Et alors que cette minorité essaie d’imposer sa vision du monde aux autres, il nous appartient de maintenir une vision plus forte et plus puissante, parce que celle-ci et en accord avec les lois universelles. C’est une vision qui est maintenant soutenue par le plan divin et qui ne peut faillir.

Puisque tout est interconnecté, ça veut dire que tout ce que nous pensons, disons et faisons affecte l’ensemble de l’humanité et la réalité dans laquelle nous vivons. Donc, c’est en maintenant « la vibration de ce que nous voulons », que naturellement et en accord avec les lois de création, la réalité devra se modeler à notre fréquence vibratoire. Elle devra nous refléter ce que nous sommes à l’intérieur. Mais pour être capable d’en arriver à ce comportement, il faut comprendre comment nous fonctionnons et nous consacrer avec constance à démystifier nos peurs et nos fausses croyances.

Troisième réalisation : pour changer de réalité, il faut changer notre perception —

Changer de perception, c’est changer de réalité.

Nous pouvons voir cette crise comme le reflet de notre propre énergie autant sur un plan individuel que sur un plan collectif. Chacun de nous voit quelque chose de différent dans ce miroir. Et si nous n’aimons pas ce que nous voyons, c’est d’abord à l’intérieur de nous que nous devons regarder. C’est en nous que nous devons effectuer une transformation.


Si j’ai les cheveux en broussailles et que je me regarde dans le miroir et que j’essaie d’arranger mes cheveux en touchant le miroir ou si je me montre outrée de ce que je vois, ça ne changera rien à ce que je vois, ça ne marchera pas n’est-ce pas ? Même si je dis aux autres que le miroir est brisé, car mon image n’est pas belle, mon image ne changera pas. La seule manière de changer mon reflet est en me tournant vers la source de la réflexion qui provient de moi.

C’est exactement la même chose pour la réalité extérieure qui est notre miroir. Celle-ci est constamment un reflet de ce que nous croyons — c’est la nature de notre univers d’être réflectif. Nous pouvons nous connaitre en observant notre reflet. Blâmer les autres ou les circonstances extérieures pour notre malheur ou notre souffrance n’amène aucun changement et ne fait que maintenir notre sentiment d’impuissance et notre mal d’être.

Encore une fois nous modelons notre réalité à l’intérieur d’un cadre précis qui est celui de nos croyances ou systèmes de référence. Alors, comment faire pour nous amener à cette confiance et à cette certitude intérieure que l’harmonie et la liberté sont possibles alors que le chaos fait rage autour de nous et que nos propres émotions sont comme des montagnes russes ? C’est ce que nous explorerons dans le prochain article.

À suivre…

Avec beaucoup d’amour

Dominique

 

Prochaine série d’ateliers en ligne en décembre 2020,

Organisé en collaboration avec Harmonie et Conscience.


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